Judo-Sphère
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D'hier à aujourd'hui :
Marc Cantin directeur technique de Judosphère, à commencé la pratique du judo au club de judo d’Arvida avec Charles Castonguay en 1969. Charles étant très axé sur les principes fondamentaux, il lui inculqua la discipline et le respect nécessaire à ce sport. Deux ans plus tard le club n’ayant plus de professeur, c’est Gilles Oueillette qui en pris les reines et qui permit à Marc de travailler le côté plus exploratoire du judo. Puis, l’arrivé de Roger Tremblay et la naissance de Judoka Jonquière entraîna une période pendant laquelle il gravit les différentes étapes d’un judo plus compétiteur. C’est à cette étape qu’il prit goût aux tournois et à tout ce qui gravite autour des compétitions. Il était ceinture marron lorsqu’il arrêta de pratiquer activement le judo en 1979. Les études et le travail remplissaient ces journées et il ne pouvait plus trouver de temps pour l’entraînement. Le judo resta malgré lui une discipline de vie, les principes et valeurs qui lui avaient été enseignés restaient bien encrés dans sa personnalité. Pendant vingt ans, il resta loin de ce milieu. 
 
En 1994, lorsque son épouse lui annonça qu’elle avait trouvé un club de judo pour son fils Christian, le goût de pratiquer ce sport revenait doucement. En 1996, voilà que le deuxième fils Sébastien désire s’adonner à la pratique du judo, il faut croire que c’est dans les gênes. En 1999, après quelques évènements désagréables lors de certains tournois et un manque d’entraînement compétiteur, il décide de recommencer là où il avait laissé bien des années auparavant. La première année fut assez difficile, car le judo en lui revenait très rapidement, mais malheureusement le corps n’avait plus vingt ans. Rien n’y fit, la détermination à relever le défi devenait de plus en plus forte. Afin de permettre que l’homme et l’art se synchronisent de nouveau, il fût aide sensei et en profitas pour suivre et guider les compétiteurs du dojo Laval-Ouest. En novembre 2002, il passa sa ceinture noire et dans la même année compléta son niveau 1 et 2 du programme national de certification des entraîneurs du Canada (PNCE).  

 C’est dans cette même année qu’il démarra un cours destiné aux compétiteurs du dojo. Il s’agissait d’un cours permettant un entraînement plus ardu, afin que les judokas soient en mesure de faire bonne figure lors des tournois. Donc tous les jeudis soir il entraînait officieusement l’équipe de compétiteurs de Laval-Ouest. La demande devenant de plus en plus grande, il obtient finalement un horaire de cours de semaine et il commença l’enseignement aux débutants ainsi qu’aux avancés tous les lundis et mercredi soir.  
Les résultats ne se firent pas attendre, car en 2003 il devient l’entraîneur de l’équipe Lavaloise des jeux du Québec, avec plus des trois quarts de l’équipe provenant du dojo Laval-Ouest où il était professeur. 
 
Toujours en 2003, agacé par les contraintes des centres communautaires qui ne permettent pas de levée de fonds pour les compétiteurs, et donc aucune lassitude pour le financement des compétitions à l’extérieur de la région, il ouvrit le club Judosphère avec la collaboration de Johanne Hébert, Christian Cantin, Sébastien Cantin , Benoit Craig-Poirier et Gisèle Legault, qui forment toujours le conseil d’administration du club. Le groupe mit en commun leurs idées, visions et efforts, afin d’ériger une base solide pour le développement du nouveau club.  
 
C’est principalement grâce à la détermination de Johanne Hébert, que le judo vit le jour à Deux-Montagnes en septembre 2004. Elle fit les démarches nécessaires afin que Judosphère soit reconnu comme association sportive à but non lucratif, et elle trouva un local avec la collaboration de la ville. Elle s’occupa du plan de développement avec la municipalité, ainsi que des inscriptions et de la promotion. Pour la première année nous devions entrer avec force et c’est pourquoi tous les membres du conseil, ainsi que Patrick Cantin notre mascotte, ont travaillé de concert et passé plus de 7000 pamphlets publicitaires dans la ville. Les efforts furent récompensés, car ils ont permis d’ouvrir 4 groupes sur deux soirées la première année, puis six groupes sur 3 jours à la deuxième saison. Afin de conserver des tarifs compétitifs pour tous et de permettre au club d’amasser des fonds de roulement pour payer les activités telles que formation, stages, frais de compétition et autres, aucune rémunération n’est versée aux professeurs et aux membres du conseil. Gisèle Legault s’occupe bénévolement de la cantine lors d’évènements spéciaux tels que les tournois de fin d’année, et les compétitions majeures qui se tiennent à la polyvalente. Son expérience dans ce domaine est plus qu’appréciable et appréciée. 
Le tout se remarque et porte fruit, car au début de la deuxième année d’activité, Johanne obtient une entente avec la polyvalente de Deux-Montagnes, ce qui permit à Judosphère de fixer les tatamis dans le local qui leur était attribué. Cette nouvelle est accueillie avec euphorie auprès du conseil et des judokas, enfin plus besoins de déplacer les tatamis en début et fin de cours. Basé sur cette nouvelle situation, le club décide d’investir de nouveau et fait l’achat de tatamis neufs afin de doubler la surface d’entraînement. 
 
Même les judokas mettent la main à la pâte au cours de cette seconde année, plusieurs se sont impliqués bénévolement afin de continuer l’expansion du club. Nous avons donc retrouvé en Patrick Duhaime un photographe et recruteur étonnant, en Pierre Gauthier un webmaster toujours disponible pour modifier, modifier, modifier, et en François Pedneault un fournisseur officiel du nom de domaine ainsi que l’hébergement de notre site internet.
 
En fait, ce qui est vraiment formidable dans cette équipe, c’est que nous avons tous la même vision, permettre un développement saint du corps et de l’esprit des judokas dans une ambiance agréable, mais empreinte de discipline et respect tel qu’enseigné par l’humble fondateur de ce sport, Dr Jigoro Kano. Sans compter que pour chacun des membres de l’équipe, le seul fait que Judosphère grandisse constitue leur paye et leur fierté.